J'étais parti·e, pardon (dans un autre univers)

Affiche du spectacle J'étais parti·e, pardon (dans un autre univers)
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Salle 1
Nombre de places : 150
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moyens de paiement
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Introduction
« Les quoi ? Les univers parallèles. LES QUOI ? LES UNIVERS PARALLÈLES ! »
description
Alors qu’elle participait à la création d’une pièce de théâtre, une classe de CM2 a disparu de la surface de la terre, purement et simplement. On est en droit de se demander si cette disparition n’a pas un lien avec le thème du spectacle, à savoir : les voyages vers d’autres réalités... J’étais parti·e, pardon (dans un autre univers), ça parle d’univers parallèles et ça raconte l’histoire d’un collectif de théâtre qui ressemble étrangement au collectif Mind the Gap, collectif qui vient faire une résidence dans une classe de CM2 afin de créer un spectacle sur les univers parallèles. Sauf que, bien sûr, tout ne se passe pas comme prévu.

Dans l’histoire, on croise les élèves de l’école Angela Davis, leur instit’ Jin, Madame Civier-Béchue (la directrice), des fausses bande-annonces, le musée de la Science et des Fictions, la figure super-héroïque Vyper-Human, des télécommandes inter-univer-selles, une mystérieuse entreprise avide de profit... Et puis il y a Gab (ou Gaby). Gaby (ou Gab), c’est un·e enfant de neuf ans, persuadé·e de ne pas être dans le bon univers et qui, peu à peu, devient le personnage principal du spectacle. Gab·y se demande avec nous comment retrouver son univers de base (si tant est qu’il existe). A travers son histoire, c’est peut-être l’occasion de déplier le sentiment de malaise qu'on éprouve quand on ne se sent pas à sa place, cette envie d’être ailleurs (disons ce spleen) quand on ne sait pas où aller, et surtout de se demander quoi faire de ça.

Nourrie d’un travail au long cours avec des enfants de Seine-St-Denis, J’étais parti·e, pardon (dans un autre univers) est une comédie qui mêle enquête, poésie pop, vertige et science-fiction. Dans un procédé de théâtre à vue où les interprètes se confondent avec leurs (nombreux) personnages, on voit la frontière entre le vrai et le faux commencer à se brouiller, pour mieux se demander : «comment est-ce qu’on pourrait changer le/de monde ?»
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informations
du 5 au 22 juillet relâche les 11, 18 juillet
09h40 55min
TRAIN BLEU (THÉÂTRE DU)
Salle : Salle 1 - S'y rendre
Public : Jeune public à partir de 8 ans
Avertissements : Utilisation de stroboscope
tarifs
15 €
plein
10 €
abonné⋅e
8 €
enfant **
8 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - du 5 au 9 juillet
** Tarif réservé au moins de 18 ans
auteur⸱ice
De Théophile Dubus
équipe artistique
Collectif Mind The Gap - Mise en scène
Thomas Cabel - Interprétation
Julia De Reyke - Interprétation
Nama Keita - Interprétation
Solenn Louër - Interprétation
Anthony Lozano - Interprétation
Coline Pilet - Interprétation
Valentine Lê - Scénographie
Valentine Lê - Costumes
Manon Poirier - Création lumière
Thomas Cabel - Création son
Macha Menu - Régie
Margot Guillerm - Administration
Adèle Tourte - Administration
Caroline Namer - Diffusion
Caroline Namer - Diffusion
MIND THE GAP
Compagnie française
Compagnie professionnelle
Description :
En 2014, à l’issue de leurs études de théâtre, Thomas Cabel, Julia de Reyke, Anthony Lozano, Coline Pilet et Solenn Louër décident de poursuivre leurs aventures artistiques ébauchées au Conservatoire d’Art Dramatique d’Orléans et créent le Collectif Mind The Gap. Se constituer en tant que collectif théâtral découle d’abord d’une volonté politique : créer, travailler ensemble sans que le pouvoir de décision soit porté par un·e directeur·ice artistique unique. C’est aussi l’intuition que cette modalité de création, en faisant se conjoindre des imaginaires différents, ouvre des portes vers des univers singuliers.

Au travers de ses créations, Mind The Gap explore sa manière propre d’écrire en partant du plateau. Chaque fois, la question s’y pose sur ce qui fait art, ce qui fait spectacle et la manière dont on y invite les spectateur·ice·s. Dans ce travail, on voit se dessiner une esthétique et un goût de l’artisanat, une “fabrique” de la représentation à vue, notamment par le déploiement d’un univers sonore fait de bruitages et/ou de musique live. Avec autodérision, les membres du collectif, parfois tendres, parfois cruel·le·s, se mettent en scène en train de faire spectacle, souhaitant que leurs représentations soient pour le public des moments de rassemblements jouissifs, décalés et poétiques.
Le spectacle en images