Ecoute ! Léo Ferré

Affiche du spectacle Ecoute ! Léo Ferré
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Salle Barbara Weldens
Nombre de places : 70
Téléphone de réservation : 0985099742
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Introduction
Spectacle musical où les mots de Léo se posent sur sa musique, arrangée par un "Satie électro-pop"
description
Je parle à n'importe qui, à n'importe qui, aux chansons vagabondes avec du vague à l'âme, aux trésors enfouis dans la tête des gens" Léo Ferré. Nous nous attachons au poète.
Celui qui dit, qui chante et qui crie l’amour, le grand Amour.
Celui de cet enfant qui s’est fait tout seul et qui, malgré tout, est parvenu à s’ouvrir au monde.
C’est le poète à fleur de peau. C’est le Ferré qui pleure derrière celui qui gueule.
Qui dit «NON» et «JE T’AIME».
Qui dit «IL N’Y À PLUS RIEN» et «JE TE DONNE».
À qui s’adresse-t-il?
À la mère de ses enfants bien sûr.
Mais aussi à son public. À tout le monde.
À n’importe qui!
Sans fard, sans lumières et sans artifices. Brut.
Seulement la musique, la voix et les mots.
NON STOP
Et Alors?
Écoute
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informations
du 3 au 21 juillet relâche les 9, 16 juillet
10h30 1h
ARRACHE-CŒUR (THÉÂTRE DE L')
Salle : Salle Barbara Weldens - S'y rendre
Langue principale : français
Public : Tout public à partir de 12 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Accessible aux non francophones
Avertissements : Aucun
tarifs
17 €
plein
11,9 €
abonné⋅e
8 €
réduit *
8 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
* Tarif réduit : RSA, PSH (Personne en situation de handicap), Demandeurs d'emploi, Étudiants, Groupe
auteur⸱ices
De Léo Ferré
interprètes / intervenant⸱es
Chargé·e de diffusion : LAURENCE BLOCH
Chanteur·euse : Julien Guill
Musicien·ne : Jean-Christophe Sirven
LA COMPAGNIE PROVISOIRE
Compagnie française
Compagnie professionnelle
Description :
Nous sommes très sensibles aux mouvements du monde. Très prolifiques, nous développons notre «manifeste de la compagnie provisoire» à travers des spectacles épurés, sans filets et désencombrés de toute machinerie. Il y est question de déterminisme et de singularité. Au-delà de la représentation, nos créations rendent compte de toutes celles et ceux qui, envers et contre tout, cherchent à se libérer de leurs carcans.

Dans les spectacles, il y a la relation entre les interprètes et les spectateur-ices. Il y a des êtres qui partagent une aventure humaine. Les artistes «donnent» et les spectateur-ices «reçoivent». Mais au fond, c’est la même chose: on échange.

Il y a alors ce que l’on raconte. C’est une responsabilité. Il faut traiter du monde, de la solitude, des injustices et des violences. Violences familiales, conjugales, morales, professionnelles, religieuses, sociales ou politiques. Il faut absolument en parler. Rompre le silence. Il faut conjurer tout ça. Pour le faire, nous nous emparons des histoires des autres. Nous en conservons ce qui nous semble en être l’essentiel. Et nous les partageons. De manière directe et brute.

Nous suivons deux pistes, «Pour en finir avec les classiques» et «On peut détourner le regard». La première s’empare d’œuvres classiques pour traiter de problématiques sociétales, et la deuxième témoigne d’un certain malaise social à travers des écritures contemporaines.

Nous jouons partout. Dans des théâtres mais pas seulement. Nous voulons atteindre le plus de monde possible. Nous investissons des territoires. Nous les occupons. Nous rencontrons les gens.
Le spectacle en images