Pina, les contes de La Cape d'Argent

Une jeune compagnie portant un regard moderne sur le conte et proposant des spectacles ambitieux inspirés des studios Ghibli et Pixar.

Partenaire de structures créant un nouvel élan dans le Val-de-Marne, nous avons une visée artistique mais aussi pédagogique avec des actions culturelles dans les lieux où nous intervenons partout en France.

Les membres de la troupe se sont principalement rencontré.es au Studio de Formation Théâtrale de Vitry-sur-Seine et à la Classe Libre du Cours Florent à Paris.
L’envie de créer une troupe étendue qui traiterait de manière actuelle et mature des sujets pour le tout public et le jeune public les a fait se réunir autour des textes d’Alexandre Lucas Bécourt, auteur et metteur en scène, lui aussi formé à Vitry.

Le Théâtre de La Cape d’Argent est constitué d'artistes pluridisciplinaires. On y trouve des comédiennes et comédiens qui pratiquent la musique en live, des scénographes, une créatrice lumière, un compositeur et un plasticien créateur de masque.
La plupart ont été formés à la danse-théâtre, à la danse contemporaine, au hip hop ou au swing. Cette pluridisciplinarité se retrouve au plateau dans leurs créations théâtrales.


Un mot du directeur de la compagnie :

" Papi est parti ? Mais est-ce qu’il va revenir? "

Ancien professeur des écoles, c’est en me confrontant à ce genre de questions qu’est né le désir de traiter au théâtre le sujet de la perte d'un proche chez l’enfant et l'adolescent.
Nous cherchons, par une approche contemporaine du conte, à apporter des mots aux familles qui en manqueraient et à rattraper ces questions qui tomberaient dans un vide.

« Pina », notre premier spectacle, créé pour cet Avignon, s’inscrit dans une quadrilogie, les contes de La Cape d’Argent, ayant pour sujet les différentes manières de vivre le deuil. Chacune des pièces suit une héroïne face à un monde aussi dangereux que merveilleux.

Ici, il s’agit de raconter l’histoire d’une jeune créature, Pina, qui a perdu sa mère. Les trois autres pièces « L’Impératrice », « Monsieur Neige » et «Les royaumes d’Aé» ont comme angle respectif la rédemption après la perte d’un proche, les derniers jours avant la mort, et le déni.