On fabrique, on vend, on se paie

Affiche du spectacle On fabrique, on vend, on se paie
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Théâtre des Carmes
Nombre de places : 187
Téléphone de réservation : 04 90 82 20 47
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moyens de paiement
CB Espèces Chèque
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Introduction
Une histoire des usines LIP
description
Besançon, été 1973. Suite au rachat de l’usine Lip, un plan de licenciement est annoncé . Débute alors pour les ouvriers et les ouvrières de l’usine, fleuron de l’horlogerie française, une des grèves les plus emblématiques de la fin des « 30 Glorieuses ».

«Une aventure collective qui en ferait encore rêver plus d’un. [...] Avec cette histoire des usines LIP, le Bain Collectif aura réussi à nous faire remonter dans le temps»
Le Dauphiné Libéré

«La Compagnie s’empare de la révolte des LIP, en restitue les racines, les agissements et examine les répercutions multiples des actions collectives»
Michel-Flandrin.fr

«Gloire à la mémoire des Lip»
La Terrasse

«Une mise en scène ultraréaliste d’Anouk Darne-Tanguille. Le rendu est si réel que chaque spectateur à quasiment l’impression d’être l’un des ouvriers de l’usine. Il fait corps avec l’histoire qui se joue devant
lui et se passionne, se positionne et il vote ! Et il chante ! Et il applaudit! Et il réagit ! C’est bien plus que du théâtre participatif. À voir absolument [...] Et si on ne remporte pas la bataille comme ici, on gagne bien plus en humanité.»
Coup2théâtre.com

L'affaire Lip à profondément marqué l’histoire des luttes en mobilisant des dizaines de milliers de personnes à travers l’Europe entière durant près de 4 ans. Sur le lieu de l’usine, le public est témoin des confessions et des découvertes des ouvrières et ouvriers en lutte, amoureux du savoir-faire Lip. Il est alors badaud du marché ou sympathisant, assistant aux sessions de tractage, ouvrier ou ouvrière présente en assemblée générale où l'on parle des choix économiques déconnectés de la réalité ouvrière. Le tout est orchestré par des hommes en costumes dans les hautes sphères de pouvoir.
Le spectacle s’inspire des nombreux témoignages et d’images d’archives produites pendant la période. Les événements à l‘époque ont été énormément relayés par les médias ; de la description des étapes de fabrication de la montre à quartz, jusqu’aux témoignages sur la place des femmes dans la lutte. Une matière dense permettant un riche travail de documentation.
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informations
du 5 au 21 juillet relâche les 9, 16 juillet
14h05 1h30
CARMES ANDRÉ BENEDETTO (THÉÂTRE DES)
Salle : Théâtre des Carmes - S'y rendre
Langue principale : français
Public : Tout public à partir de 12 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Avertissements : Utilisation de stroboscope
tarifs
20 €
plein
14 €
abonné⋅e
10 €
réduit *
10 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
* Tarif réduit : RSA, PSH (Personne en situation de handicap), Demandeurs d'emploi, Étudiants
auteur⸱ices
Création collective
interprètes / intervenant⸱es
Comédien·ne : Raphaël Bocobza, Lucile Chikitou, Pauline D'ozenay, Nino Djerbir, Zélie Gillet, Léo Tasserit
Chargé·e de diffusion : Sylvie Chenard, Emma Cros (La Strada & Cies )
Metteur·se en scène : Anouk Darne-Tanguille
Créateur·rice lumière : Marie Plasse
Créateur·rice son : Emilien Serrault
Le Bain Collectif
Origine :
Description :
Le Bain Collectif réunit, depuis 2019, des artistes dont la plupart se rencontrent en 2015 au sein de l’ERACM. Ils et elles imaginent ensemble un théâtre comme l’espace d’une recherche toujours en résonance avec l’actualité sociale et politique du monde.
Collectivement, ils et elles écrivent des spectacles autour des mécaniques d'oppression et des rapports de force, mettant en jeu un travail de documentation précis et l'apport de la matière informative brute à la scène (interviews, archives, journaux, etc.).
Le Bain Collectif se veut laboratoire d’idées, de réflexions, lieu de partage et parfois de lutte, mais aussi un endroit de rencontre avec des figures, des personnages, où l’on raconte les petites histoires dans la grande Histoire en créant toujours de l’écho.
Le spectacle en images