Le petit dragon accroche sa proie et avec sa queue il frappe

Affiche du spectacle Le petit dragon accroche sa proie et avec sa queue il frappe
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Salle voûtée
Nombre de places : 49
Téléphone de réservation : 04 86 34 52 24
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moyens de paiement
CB Espèces Chèque
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Introduction
Un texte fort et drôle sur le harcèlement scolaire. À voir en famille. On rit, on est ému
description
Après le succès de « Une opérette à Ravensbrück » au Chien qui fume en 2022 et 2023, Claudine Van Beneden met en scène un texte qui parle de transmission, de filiation et de rapport au monde. Fidèle à ses choix et sa ligne artistique, la compagnie Nosferatu aborde un sujet de société profond sous l’angle de l’humour.
L’histoire
Comment Bruce Lee participe-t-il à la construction identitaire d'un adolescent introverti ?
Un père raconte son adolescence à son fils de 11 ans, celle d'un gosse mal dans sa peau qui prend conscience du monde et trouve ses règles de vie dans le cinéma de genre.
Un père, accompagne son fils devant la grille de son école, il voit que celui-ci est préoccupé. Il a son fils en garde alternée une semaine sur deux, Il est urgent de lui parler, de savoir quel est le problème.
Le problème, c’est Killian, un élève qui terrifie l’enfant. Dans un élan irrésistible, le père va expliquer à son fils comment lui, à son âge, a réussi à vaincre la peur qui le paralysait. Avec acuité et drôlerie, il décrit l’univers de sa propre enfance, durant laquelle la découverte des films de Bruce Lee et autres films d’action ou d’horreur lui ont permis de grandir.

Pourquoi ce texte :
Dès qu’un texte traite d’un sujet de société, ma curiosité est à son maximum et quand en plus l’écriture est précise, dynamique et drôle je ne résiste pas.
Thomas Günzig nous offre un monologue où l’écriture joue sur la répétition et l’accumulation, il raconte des situations drôles qui nous emportent dans un univers féroce et plein d’humour.
Ce père un peu bourru, maladroit et tendre raconte son enfance et les évènements tragiques qui ont empêché ses parents de l’aider quand lui avait peur dans son enfance. Cette manière totalement inappropriée qu’il a de s’appuyer sur le récit effrayant des films d’horreur qu’il a regardé pour grandir, nous parle malgré tout de transmission, de filiation et de rapport au monde.
C’est à la fois émouvant et hilarant.
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informations
du 29 juin au 20 juillet relâche les 30 juin, 7, 14 juillet
12h55 1h
ESPACE SAINT MARTIAL
Salle : Salle voûtée - S'y rendre
Langue principale : français
Public : Tout public à partir de 11 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Avertissements : Aucun
tarifs
16 €
plein
11 €
abonné⋅e
11 €
enfant **
11 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
** Tarif réservé au moins de 11 ans
auteur⸱ices
De Thomas Günzig
interprètes / intervenant⸱es
Régisseur·se : Jérôme Aubert
Musique : Simon Chomel
Interprète : Raphaël Fernandez
Metteur·se en scène : Claudine Van Beneden
Compagnie Nosferatu
Origine :
Description :
La compagnie Nosferatu s’intéresse aux questions de l’engagement social et fait entendre les récits de ceux absents des plateaux et particulièrement les histoires de femmes. Celles qui subissent des violences familiales, conjugales ou sociales, celles effacées de notre histoire (commandes d’écriture à Carole Thibaut, Magali Mougel et Gilles Granouillet).Ce travail s’élargit à tous ceux à qui on ne donne pas la parole dans les arts de la scène. Cette évolution se construit grâce à un tissage de liens avec les territoires et aux rencontres avec ces publics différents ou oubliés lors nos résidences en Haute Loire et en région. Cette manière franche, radicale et affirmée de raconter le réel et cette confrontation d’horizons culturels et sociaux différents se fait en chansons et en musique. Le théâtre musical qui est au cœur de la forme artistique de la compagnie n’amoindrit pas la brutalité des sujets, au contraire. C’est la volonté de Claudine Van Beneden de réconcilier le milieu social dont elle est issue avec le théâtre découvert plus jeune. La compagnie veut rapprocher une forme dite «populaire», avec un texte et un récit du réel social ou politique. Elle assume le choix de la comédie musicale qui reprend les structures narratives de l'opéra et de l'opérette en présentant au public des fictions où les personnages passent en général naturellement de l'expression réaliste à un univers onirique où tout devient possible en danses et en chansons.
Claudine Van Beneden, travaille avec des compositeurs aux sensibilités différentes, avec eux elle réfléchit à un style musical mêlant composition traditionnelle et modernité : RnB ou électro par exemple. Depuis 2018 la compagnie collabore aussi avec un chorégraphe associant danse contemporaine et jazz.
Le spectacle en images