Ce violon quelle histoire !

Ce violon quelle histoire !
Concert raconté
Jean-Christophe Selmi, violon.

Le violoniste Jean-Christophe Selmi nous raconte avec humour sa découverte du violon et son approche personnelle, en parallèle avec l’évolution de son instrument, depuis son apparition dans l’histoire de la musique occidentale à sa consécration par JS Bach. Nous voilà entraînés dans un voyage musical au fil du temps, tissé de danses et d'histoires d'amour.

Violon : Petit instrument mélodique, à cordes frottées, apparu en Europe au début du XVIème siècle.
Il est habituellement joué en groupe, accompagné ou accompagnant, en duo, trio, quatuor, orchestre...
Mais il existe un répertoire pour le violon tout seul, solo :
Depuis l'époque baroque jusqu'aux expériences contemporaines, le violon seul a inspiré les compositeurs qui lui ont dédié des pages bien souvent virtuoses, hors du commun.
Ce présent projet est né d'un désir : Partager avec le public, seul en scène avec mon violon, mes émotions de musicien, transmettre et redécouvrir ensemble ce répertoire solo à la fois lumineux, mystérieux et exigeant pour l'instrumentiste, le raconter avec une touche d'humour et de légèreté, et ainsi chatouiller ses oreilles pour mieux toucher le cœur.
J'ai pour cela choisi la forme d'un concert racontant, comme dans une conversation entre amis, mes débuts et mon parcours de violoniste en parallèle avec les origines du violon et son évolution.
Fil conducteur et mouvement commun privilégié entre tous les gestes, la danse traverse et rythme ce temps partagé.
Aussi, bien sûr, des histoires d'amour, de passion, des correspondances mystérieuses, des œuvres inattendues, des relations entre les noms et leur mélodie, des histoires d'amour encore...

Lettre de Johannes Brahms à Clara Schumann : « La Chaconne est pour moi l’un des plus merveilleux et inimaginables morceaux de musique qui existent. Sur un système et pour un petit instrument, Bach crée un monde plein de pensées profondes et de puissantes sensations. Si je m’imaginais avoir pu écrire cette œuvre ou simplement la commencer, je suis certain que l’énorme excitation et le choc m’auraient rendu fou. »