Cette guerre que nous n'avons pas faite

Affiche du spectacle Cette guerre que nous n'avons pas faite
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Salle Edouard Glissant
Nombre de places : 115
Téléphone de réservation : 0490140749
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moyens de paiement
CB Espèces Chèque
Introduction
De retour d'une guerre hypothétique, le Guerrier s’adresse à sa mère.
description
De retour après une longue absence, le Guerrier s’adresse à sa mère.
Il raconte ce jour où il est parti à la guerre, s’arrachant à son confort bourgeois aliénant, pour « devenir un homme ».
Il raconte le bistrot où il s’est échoué dans un accès de découragement et sa rencontre avec ceux qui devaient devenir ses compagnons d’armes.
Et aussi cet homme pas comme les autres, ce mystérieux pacifiste qui se dressait sur leur route, fermement décidé à les empêcher de combattre.
Entre deux piques contre sa mère, coupable de soumission et de compromission avec les puissants, le Guerrier explique, finalement, pourquoi il n’a pas fait la guerre.
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informations
du 5 au 21 juillet relâche les 8, 15 juillet
20h00 1h05
CHAPELLE DU VERBE INCARNÉ
Salle : Salle Edouard Glissant - S'y rendre
Langue principale : français
Langue secondaire : créole
Public : Tout public à partir de 12 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Avertissements : Aucun
tarifs
20 €
plein
14 €
abonné⋅e
10 €
enfant **
14 €
réduit *
10 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
* Tarif réduit : RSA, PSH (Personne en situation de handicap), Sénior, Demandeurs d'emploi, Étudiants, Groupe
** Tarif réservé au moins de 12 ans
auteur⸱ices
De Gaël Octavia
interprètes / intervenant⸱es
Créateur·rice son : Jeff Baillard
Metteur·se en scène : Hervé Deluge
Comédien·ne : Hervé Deluge
Vidéo : Cassandra Keane
Compagnie Île Aimée
Compagnie française
Compagnie professionnelle
Description :
La compagnie Île Aimée a aujourd’hui 18 ans d’existence. Elle a souvent opté pour un traitement hybride des œuvres choisies à travers le prisme de leur identité antillaise.
L’univers théâtral franco-créolophone de la Caraïbe est assez marqué par une certaine tendance à (re)visiter quelques œuvres contemporaines et classiques – issues de différents coins du monde : une manière de frotter nos imaginaires d’ici aux imaginaires d’ailleurs, une manière d’exalter l’altérité.
Le spectacle en images