Pillowgraphies

Affiche du spectacle Pillowgraphies
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Le Hangar
Nombre de places : 200
Billetterie Téléphonique : 04 84 51 09 11
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Introduction
Danses pour fantômes et lumière noire
description
Une pure illusion. Une plongée en lumière noire pour traverser l’invisible et observer... les fantômes. De courses folles en files indiennes, de complots en explosions soudaines, cette joyeuse communauté se livre à un ballet hypnotique et jubilatoire où la liberté est reine. Mais attention ! L’insouciance est le territoire idéal des retournements de situation...

TTT - Très bien
Un premier fantôme, un deuxième, un troisième… traversent la scène. À chaque apparition, l’effet est saisissant et suscite quelques cris d’enfants mi-surpris, mi-amusés. (…) Dans l’imaginaire du spectateur, une histoire se dessine au fur et à mesure que le groupe se défait, se recompose, jusqu’à ce que le drap tombe et qu’une autre surprise survienne… Merveilleuse construction/déconstruction pour cette pièce, où le plaisir de l’illusion laisse place à celui de la danse et aux hypnotiques mouvements des corps. » Françoise Sabatier-Morel, 05 décembre 2022 - Télérama Sortir
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informations
du 3 au 21 juillet relâche les 8, 15 juillet
13h10 50min
SCIERIE (LA)
Salle : Le Hangar - S'y rendre
Public : Jeune public à partir de 6 ans
Accessibilité :
Accessible aux non francophones
Avertissements : Aucun
tarifs
19 €
plein
13 €
abonné⋅e
6 €
enfant **
13 €
réduit *
10 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
* Tarif réduit : RSA, PSH (Personne en situation de handicap), Sénior, Demandeurs d'emploi, Étudiants, Groupe
** Tarif réservé au moins de 12 ans
auteur⸱ices
Création collective
interprètes / intervenant⸱es
Conception : La BaZooKa
Chorégraphe : Sarah Crépin
Mise en scène : Etienne Cuppens
Interprète : Aurore Di Bianco, Flore Khoury, Sakiko Oishi, Matthieu Patarozzi, Marie Rual, Léa Scher, Taya Skorokhodova, Julien-Henri Vu Van Dung
Diffusion : Mathilde Mahier
Administrateur·rice de production : Anne Massot
Chargé·e d’administration : Margaux Roland
Régie générale : Maximilien Sautai
Attaché·e presse : Hélène Sitbon
compagnie La BaZooKa
Origine :
Description :
La BaZooKa est née en 2002, au Havre, de l’association de Sarah Crépin et Etienne Cuppens. Ensemble, ils conjuguent leurs imaginaires respectifs pour créer des projets à caractère chorégraphique : des spectacles et des installations plastiques.
Leur fascination commune pour les effets d’optique les amène à inventer des dispositifs qui redistribuent la place du spectateur. Celui-ci se retrouve dans des situations inédites, son regard est sollicité d’une manière active et ludique. Cette préoccupation pour générer un échange avec « celui qui reçoit » est également au cœur des installations plastiques qui invitent le visiteur à s’emparer des propositions pour les faire évoluer. Ils puisent dans leurs souvenirs d’enfance, réels ou fantasmés, pour inventer des personnages qui résonnent avec l’inconscient collectif et auxquels la danse donne de multiples dimensions.
La confrontation est au cœur du processus de création. Leur différence de parcours, de formation artistique, de références culturelles, d’attachement, ouvre un espace de travail dans une complémentarité et un déplacement réciproque où « le chorégraphique », bien que dominant n’est pas le vecteur exclusif. L’attirance pour l’abstraction d’un côté et un goût pour la dramaturgie de l’autre s’additionnent et engendrent un rapport double à l’écriture. L’enjeu réside dans le dialogue entre ces deux axes pour atteindre un point d’équilibre.
Au plateau ou en studio, c’est en utilisant la « libre association d’idées » qu’ils travaillent. Ainsi, ils peuvent entrechoquer des éléments qui n’ont à priori rien à faire ensemble mais dont l’assemblage devient source de sens et d’émotion. Ce procédé débride l’imaginaire, élargit le champ des possibles et permet aux spectateurs adultes ainsi qu'aux enfants d'avoir le choix entre plusieurs lectures. Faire confiance à la sensibilité, s’adresser à l’imaginaire, à la capacité d’abstraction, de réception et d'invention nourrit l’écriture. C’est particulièrement nécessaire dans les réalisations accessibles à un jeune public comme Pillowgraphies, où adultes et enfants sont invités à additionner et partager leurs visions.
Le spectacle en images