La lente et difficile agonie du crapaud buffle sur le socle patriarcal

Affiche du spectacle La lente et difficile agonie du crapaud buffle sur le socle patriarcal
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : Salle 1
Nombre de places : 150
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Introduction
Un grand moment de radio entre féminisme politique et discours patriarcal dont Akté propose la reconstitution.
description
Décembre 2021, Alain Finkielkraut reçoit la philosophe Camille Froidevaux-Metterie et l'essayiste Jean-Michel Delacomptée pour parler de leurs livres et débattre de "l'évolution des rapports entre les sexes et de leur révolution". Mais l'échange d'arguments change vite de nature et se transforme en une implacable démonstration d'intelligence féministe face à un discours souvent approximatif et rétrograde. Avec un aplomb qui force le respect, la philosophe se confronte à ses contradicteurs et démonte un à un leurs propos. Le vieux monde du patriarcat vacille sur son socle à travers la radio. La Compagnie Akté s'empare de cette matière à jouer et reconstitue au plus près du public le déroulé éminemment théâtral de l'émission pour faire entendre la brillante argumentation de la philosophe.
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informations
Le 8 juillet
20h00 1h
TRAIN BLEU (THÉÂTRE DU)
Salle : Salle 1 - S'y rendre
Public : Tout public à partir de 14 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Avertissements : Aucun
tarifs
20 €
plein
14 €
abonné⋅e
14 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - 3/7 juillet
auteur⸱ices
D'après l'émission radiophonique Répliques France Culture
interprètes / intervenant⸱es
Chargé·e de diffusion : Philippe Chamaux
Comédien·ne : Julien Flament, Juliette Lamour, Anne-Sophie Pauchet
Metteur·se en scène : Anne-Sophie Pauchet
Compagnie Akté
Origine :
Description :
Anne-Sophie Pauchet et Arnaud Troalic portent leurs projets de création en alternance, toujours en collaboration mutuelle dans une dynamique d’échange et de confrontation d’idées. Cette complicité et ce partage, nés d’une pratique de création collective pendant plusieurs années, sont des marqueurs forts de l’identité d’Akté.
La ligne commune de leurs projets se trouve dans une préoccupation constante d’un art qui viserait à faire émerger une pensée active et émancipatrice par la rencontre (celle de l’œuvre, celle du public et des artistes, celle d’un dispositif scénographique...). Les propositions artistiques interrogent souvent le sens et la capacité à faire communauté, et posent la question de l’émancipation personnelle de l’individu dans la société contemporaine, sans prétendre être dans une quelconque forme d’injonction ou de prescription.
La compagnie travaille plus spécifiquement sur les écritures qui interrogent le monde d’aujourd’hui ou qui le font résonner (Borges Vs Goya, Exit). Elle développe des dramaturgies plurielles portées par les technologies ou les dispositifs scénographiques (ATTENTION, POLIS) et favorise la rencontre des disciplines comme avec la musique live au plateau (Toxique, L’île des esclaves).
Akté poursuit notamment un travail de mise en valeur du répertoire contemporain, en direction d’un large public (notamment dans le domaine de la jeunesse). Le rapport au mot et aux écritures est fondamental dans les créations de la compagnie, non dans une recherche documentaire ou historique mais dans le décalage poétique opéré par la fiction et la mise en scène des textes choisis.
Chaque proposition interroge la position des spectateur·rices en en faisant un·e partenaire actif·ve allant même parfois jusqu’à nourrir par les rencontres le processus créatif. Ainsi, les nombreuses actions artistiques menées auprès de divers publics sont pensées comme un enrichissement et une complémentarité au travail de création.
Les projets de la compagnie sont élaborés dans une envie d’échange et d’horizontalité permettant de créer les conditions de la rencontre et visant chaque fois à stimuler une pensée collective plutôt qu’à transmettre une vision univoque.
Le spectacle en images