À table, Marcello

Affiche du spectacle À table, Marcello
infos pratiques
lieu
Nom de la salle : PLAINE DE L'ABBAYE
Nombre de places : 200
Téléphone de réservation : 04 32 75 15 95
Billetterie Téléphonique : 04 32 75 15 95
Voir toute la programmation
moyens de paiement
CB Espèces Chèque
suivez la compagnie
Site web
Introduction
Une comédie sauvage (documentée), un texte (quasi) abouti, un jeu (presque) maîtrisé, du vin (inclus)
description
À table, Marcello est une comédie théâtrale, féministe, joyeuse et irrévérencieuse. Elle est à destination d’un public attablé, à qui l’on sert du vin. Le spectacle est écrit pour des lieux non-dédiés et s’inscrit dans une forme de représentation atypique.
À table, Marcello parle de la répartition des tâches ménagères au sein d’un couple. Mais pas que.
À table, Marcello interroge le système qui distribue des rôles préfabriqués à chacun. Mais pas que.
On retrace le destin de deux soeurs dans l’été 1987; on utilise nos vies comme instrument d’auto-fiction; on organise une fausse enquête INSEE; on creuse la piste de l’éco-féminisme et on dénonce Lactalis. Mais pas que.
Il y aura aussi un blind-test et des lots à gagner, un accouchement, un cadavre d’homme dans un sac poubelle et une comédie musicale révolutionnaire.
Voir plus
informations
du 8 au 20 juillet relâche le 14 juillet
20h15 2h
VILLENEUVE EN SCÈNE (FESTIVAL)
Salle : PLAINE DE L'ABBAYE - S'y rendre
Langue principale : français
Public : Adulte uniquement à partir de 16 ans
Avertissements : Aucun
tarifs
17 €
plein
11 €
abonné⋅e
14 €
réduit *
auteur⸱ices
De Angélique Andréaz De Olivia Kerverdo
interprètes / intervenant⸱es
Comédien·ne : Angélique Andréaz, Olivia Kerverdo
Compagnie La Lie
Origine :
Description :
Jouer en dehors des théâtres, dans des lieux qui ne sont pas des lieux de diffusion : places, cours, domaines viticoles, granges, littoral, halls de théâtre, tiers-lieux, cafés associatifs…
Aller au devant de spectateurices qui ne sont pas forcément des habitué-e-s de théâtre, parce qu’ils vivent dans des territoires enclavés ou simplement parce qu’ils ne se sentent pas admis-es dans les lieux institutionnels.
Prendre le temps de tisser des liens avec les habitants et construire une diffusion avec des partenaires qui réfléchissent avec nous. Cette économie dans la diffusion va de pair avec la modestie revendiquée de nos moyens sur scène.
Faire de la représentation une fête et perturber le déroulé classique du spectacle en utilisant tout procédé scénique qui nous permette de casser les conventions du rapport scène/salle.
Bâtir une forme volontairement inaboutie, maladroite, qui espère l’accident : c’est à dire ne pas chercher à créer ni à jouer un spectacle parfaitement maîtrisé, mais au contraire, créer un jeu cramponné au présent et à l’expérimentation.
Faire du direct, et non du différé, c’est à dire continuer à chercher et élaborer en public
Revendiquer que la comédie un merveilleux outil pour développer des sujets approfondis et documentés. Rire de nous-mêmes, faire du rire un instant de partage, en maniant l’irrévérence et le politiquement incorrect.
Flouter les frontières entre le réel et le fictif, entre l’écrit et l’improvisé, flirter avec le mauvais goût et les frontières de la bien pensance.