France

Réunis par Natacha, leur coach-metteure en scène, Simon, Alexis, Francis, Hugo, Paul, et Maxence retraversent ensemble les matchs de l'équipe de France pendant la Coupe du Monde 1998. En marchant dans les pas des héros de leur enfance, ils découvrent les difficultés, les doutes et les joies du "construire ensemble".
Qu'est-ce que 98 raconte de notre identité collective ? Comment devient-on champion du monde ?
Sept épreuves attendent notre équipe, sept matchs où football, danse et théâtre sont associés pour décrocher l'étoile.

Suites aux vagues d'attentats de 2015, et face au climat éprouvant qui s'est alors abattu sur le pays, Natacha Steck a ressenti un besoin vital de retrouver les grands moments de joie, de communion, de rassemblement populaire. Dans sa mémoire, un mouvement de joie pure lui est apparu comme le point de départ essentiel : le 12 juillet 1998.
Les remises en question, les retombées illusoires prêtées à l'événement, n'effaceront pas ce cadeau : l'expérience de la joie, un instant gratuit dont nous avons besoin. Sans en faire l'apologie, son désir est d'en réinterroger la construction et de mettre en lumière les conditions possibles d'un tel moment, le chemin à parcourir.

EXTRAITS DE PRESSE :
"[Natacha] Steck réanime cet émerveillement enfantin pour célébrer d’un même geste le théâtre, le sport et le peuple. [...] Et peu importe que l’on aime le foot ou qu’il nous hérisse ; que l’on se rappelle des noms des joueurs, ou pas ; ce qui compte, c’est bien le désir de réparation et la culture du lien. Un spectacle pour une France bien dans ses baskets." Marianne

"[Un] spectacle réjouissant et enlevé, qui parvient à faire revivre une aventure historique où le sport, porté par de hautes valeurs, a rassemblé et non pas divisé." M La Scène

"L'équipe a su raconter quelque chose de fort." DNA

"Derrière ce(s) récit(s), la notion de collectif n'est jamais mis sur la touche. Comme le (petit ou grand) pont établi par Natacha Steck entre ses deux disciplines de prédilection : le théâtre et le football." Zut Magazine

"Une émotion permanente, de grandes angoisses, mais aussi une joie indescriptible. [...] Un grand moment de théâtre." L'Union