Cyborg Experiment#1

"Sur les planètes lointaines
Les hommes rêvent des rêves en commun
Leur conscience en une seule
L’empathie n’a plus de raison d’être
Croyez-vous aux utopies?"

Une scientifique dépassée par les événements orchestre une série d'expériences et convoque quatre créatures issues de futurs potentiels.
Ensemble, ils nous proposent des hypothèses pour l'avenir et nous interrogent : Êtes-vous un cyborg ? L'utopie, vous y croyez ? Le monde va-t-il être à l'envers demain ?

Dans une succession de tentatives tantôt satiriques, tantôt mélancoliques ou révolutionnaires, les artistes entraînent le public dans une gamme infinie d'émotions et de découvertes, pour un voyage qui ne manquera pas de le déstabiliser. Sous couvert de situations poétiques, le spectateur est lui-même confronté à ses propres visions du futur, et rejoint joyeusement cette expérience qui tourne progressivement au chaos.

La nouvelle création futuriste de Snowapple Collective est une réflexion sensible sur notre société, mêlant performances musicales et visuelles, théâtre, danse, poésie et pamphlets pseudo-scientifiques. Un spectacle interdisciplinaire interprété par cinq artistes internationaux aux multiples talents pour une expérience théâtrale totale dans un univers situé quelque part entre David Bowie, Matrix et David Lynch.

“On y croise de tout dans un monde où les corps seraient indépendants de l'esprit, où les personnages seraient irréels et magnétiques, hybrides. Une odeur un peu surréaliste se dégage de la scène. Il faut se laisser porter, quitter le rivage, invitation, lof pour lof, au voyage.” - Anthony Palou, Le Figaro

“D’Oaxaca à Mexico, en passant par Paris ou Amsterdam, cette troupe à la forme fluide œuvre à changer le regard et l’écoute.“ - Kareen Janselme, L’Humanité

"L’autrice et ses interprètes usent de la philosophie, de la littérature, mais aussi de la science, pour soumettre nos croyances à rude épreuve. Tout y passe : nos colères, nos amours, nos lendemains… La figure du cyborg, point de départ de la pièce, est un joli subterfuge pour donner matière au travail du collectif." - Louise Chevillard, La Terrasse