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L'homme qui plantait des arbres
L'homme qui plantait des arbres
Pluridisciplinaire
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infos pratiques
lieu
SCIERIE (LA)
Nom de la salle :
Hors Les Murs (trajet de 5mns à pied)
Nombre de places : 80
Billetterie Téléphonique :
04 84 51 09 11
Voir toute la programmation
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Introduction
See english version
Ecological and humanist show for active spectators.
Télérama 2017-TTT
Spectacle écologique et humaniste pour spectateur actif.
Télérama 2017-TTT
description
See english version
“Through its simplicity and humanism, “The Man Who Planted Trees” is aimed at everyone. It is one of the rare texts which, through its depth, becomes timeless... Believing that there can exist, in a single man, such constancy in greatness of soul and relentlessness in generosity makes a very crazy. » Françoise Sabatier-Morel. Télérama 2017 – TTT
A man during a long walk in the Alpes de Haute-Provence meets a shepherd. This shepherd lives alone in this hostile country. He plants trees. One hundred trees every day without expecting anything in return. A few years later, forests of oaks, beeches, birches, ash trees appeared... The water returned. The villages are repopulating. The barren and desolate moor has become a land full of life...
A superb ecological and humanist fable which proves that self-sacrifice is a wonderful way to be happy. It arouses a wide response in our time when deforestation is raging and water is running out. She teaches us that trees are a source of water and life. And reminds us that ecology and solidarity must be the visions of our future. She shows us that, through small daily gestures, women and men find accessible solutions to preserve nature, and that these people “it can be you, it can be me”!
This creation, with the particularity of an active audience, strengthens collaboration and the link to others. The spectators accompany the story with actions and become part of the story.
“For the character of a human being to reveal truly exceptional qualities, one must have the good fortune to be able to observe his actions for many years. If this action is stripped of all selfishness, if the idea which directs it is of unexampled generosity, if it is absolutely certain that it has not sought reward anywhere and that, moreover, it has left the world of visible brands, we are then, without risk of error, faced with an unforgettable character.” Extract from the text
« Par sa simplicité et son humanisme, “L’homme qui plantait des arbres” s'adresse à tous. C'est l'un des rares textes qui, par sa profondeur, devient intemporel... Croire qu’il peut exister, en un seul homme, autant de constance dans la grandeur d’âme et d’acharnement dans la générosité fait un bien fou. » Françoise Sabatier-Morel. Télérama 2017 – TTT
Un homme au cours d’une longue promenade dans les Alpes de Haute-Provence rencontre un berger. Ce berger vit seul dans ce pays hostile. Il plante des arbres. Cent arbres chaque jour sans rien attendre en retour. Quelques années plus tard apparaissent des forêts de chênes, de hêtres, de bouleaux, de frênes... L’eau est revenue. Les villages se repeuplent. La lande aride et désolée est devenue une terre pleine de vie...
Une superbe fable écologique et humaniste qui prouve que le don de soi est un formidable moyen d'être heureux. Elle suscite un large écho à notre époque où la déforestation fait rage et l’eau vient à manquer. Elle nous apprend que les arbres sont source d’eau et de vie. Et nous rappelle que l’écologie et la solidarité doivent être les visions de notre futur. Elle nous montre que, par de petits gestes quotidiens, des femmes et des hommes trouvent des solutions accessibles pour préserver la nature, et que ces personnes « ce peut être vous, ce peut être moi » !
Cette création, avec la particularité d’un public actif, renforce la collaboration et le lien à l’autre. Les spectateurs accompagnent le récit par des actes et deviennent partie prenante de l'histoire.
« Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable.» Extrait du texte
Voir plus
informations
du 4 au 20 juillet , jours pairs
11h00
1h15
SCIERIE (LA)
Salle : Hors Les Murs (trajet de 5mns à pied) -
S'y rendre
Langue principale : français
Public : Tout public à partir de 8 ans
Avertissements : Aucun
tarifs
15 €
plein
tarif
10 €
abonné⋅e
tarif off
5 €
enfant **
tarif enfant
10 €
réduit *
tarif reduit
* Tarif réduit : Étudiants, Groupe
** Tarif réservé au moins de 12 ans
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Comment réserver ?
auteur⸱ices
De Jean Giono
interprètes / intervenant⸱es
Diffusion : Delphine Ceccato
Collaborateur·rice artistique : François Frapier
Administrateur·rice : Séverine Nédélec
Marionnettiste : Plasticienne Ombline de Benque
Metteur·se en scène : Stella Serfaty
Comédien·ne : Stella Serfaty
Théâtre des Turbulences
Origine :
Description :
Notre recherche : Depuis 2016, la compagnie interpelle face à l'état de notre planète.
La compagnie s'écarte des chemins habituels pour découvrir ou redécouvrir une autre façon d’être au monde. Cherchant à défaire les carcans et déconstruire nos systèmes pour enclencher de nouveaux actes poétiques.
La matière : L'état de notre planète invite à repenser notre lien à la matière, à l’espace, aux spectateurs et au monde. Les matériaux utilisés sont naturels ou récupérés dans leur quasi-totalité.
Une économie de moyens. Faire beaucoup avec peu. “La pauvreté volontaire“ chère à Henry David Thoreau.
L'espace : La compagnie aime créer des formes où l’espace du spectacle se confond avec l’espace public.
Elle place le spectateur dans un rapport non conventionnel. Un rapport qui enclenche le changement.
Le Public actif : Avec les créations L'homme qui plantait des arbres, dans les bois et nouvellement l’épouvantaille, l’expérience du public en mouvement et en actes a rencontré un franc succès. Le public prend part au spectacle, met la main à la pâte, devient actif, créatif et finalement autonome. Son corps est engagé. Il fait poésie des actes.
Pluridisciplinarité : Pour ces expériences, Stella Serfaty aime convoquer d’autres disciplines artistiques, telles que la sculpture, le dessin de sable, la marionnette, la danse et nouvellement l’aérien…
Le spectacle en images
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