Photo de l'revue_presse : Je m'appelle Georges de Gilles Dyrek Samedi 20 Juillet Critique spectacle 2024 Libre théâtre George déteste le prénom que lui ont imposé ses parents à sa naissance, comme le signe anagrammatique prémonitoire d’un avenir funeste. Pire encore, les prénoms des futures conquêtes de George semblent également être écrits à l’avance. Voir l'article complet Toute notre revue de presse