Photo de l'revue_presse : C’est mort (ou presque). Happés par le vertige Lundi 22 Juillet Critique spectacle 2024 Classique en provence La scène est un cube noir de 4 mètres sur 4. Joachim Latarjet y cohabite avec une série d’instruments dont il s’empare à tour de rôle : une guitare électrique, une basse, un tuba, un trombone, un baglama, sorte de petit bouzouki. Des micros et un ordinateur pour amplifier, modifier, moduler le son, la voix, les étirer en boucles hypnotiques. Tout à la fois musicien, chanteur, acteur, il a choisi de porter à la scène des textes du poète-performeur Charles Pennequin, tirés du recueil Pamphlet contre la mort. Une poésie qui creuse, s’enroule, se répète, « car la répétition, c’est ça qui fait la vie »... Voir l'article complet Toute notre revue de presse